La douleur...

puisque ça peut être utile a certaine d'être vous, voici certaines informations qui peuvent être bonne a comprendre avant l'accouchement.

Je ne me considère pas comme une pro, je n'ai pas d'étude poussée sur le sujet, mais voici tout de même quelques informations de base. Je vais essayer de faire de mon mieux selon les connaissances que j'en ai. Si jamais je fais erreur, vous pourrez me corriger

premièrement la douleur peut provenir d'une source externe (comme se frapper le gros orteil) ou interne (crampe, mal de tête, ...) l'information est alors transmis au cerveau et celui-ci envoie une réponse.

La douleur peut-être transmise par plusieurs voies, selon l'urgence. La douleur est avant tout nécessaire à la survie.

La douleur de source externe:

Si vous mettez votre main sur un rond de poêle allumée, pour votre protection, la transmission de l'information au cerveau doit être rapide, pour votre protection et vous dire rapidement d'ôter votre main de la, Elle emprunte donc la voie express, la voie prioritaire. l'information part de l'endroit où elle surgit, l'influs nerveux apporte l'information au cerveau, le cerveau la traite. Les autres sensations seront court-cicuitées (ex. la faim ou la fatigue...) rien ne peut empêcher la réaction. La réponse du cerveau sera rapide donc sous forme de réflexe ou sur le pilote automatique. Un enfant de moins de 2 ans n'a pas se réflexe. J'en ai déja eu l'expérience lorsque que mon plus vieux a commencé a marcher a 4 pattes et qu'il s'est mit les 2 mains sur le calorifère sans jamais les retirer. Voyez comme il serait dangeureux de vivre sans ce mécanisme de douleur

La douleur de source interne

Les douleurs moins "urgente" quant a elle utilisent "l'autoroute". Le cerveau humain ne peut s'occuper a 2 choses en même temps, si une autre sensation surgit, elle peut, selon sont importance bloquer la première. Cette douleur peut donc être supprimé si l'attention se focalise brusquement sur autre chose. Le principe entre autre de l'hypnose avec l'endroit parfait ou bien bonapace avec les point de pression. Parcontre cette 2e sensation doit être plus forte que la première pour réussir a bloquer ou faire oublier l'autre Les points de pression peuvent donc très bien fonctionner en début de travail où les contractions sont moins fortes. On peut prendre exemple de quelqu'un avec une grosse migraine, il ne tolère aucun bruit, aucune lumière et ne peut rien faire a part rester coucher au lit, Mais si, par exemple le feu prend a la maison. il en oublira sa migraine et se précipitera dehors sans aucune difficulté.

La douleur de l'accouchement étant de source interne peut donc être déjoué

bon c'est un début, je reviens plus tard avec la tolérance a la douleur

Oh oui moi je veux en lire plus, j'adore ce sujet (pas avoir mal là par contre )

Merci !
Donc il faudrait que je trouve un moyen "d'oublié" la douleur ?
De me focaliser sur autre chose...

J'ai hâte de lire la suite !

oui exacte, plus tu focus sur la douleur, plus ça fait mal...

bonheur ne te gêne pas pour ajouter des trucs hein!


ok alors un autre petit bout

La douleur de l'accouchement de source interne est influencée par 2 facteurs:

-L'envirronnement physique: La lumière, les personnes présente, l'environnement, l'ambiance, bruits...

- le psychisme: émotions, souvenir, sentiments, fausses croyances, peurs, doute en ses capacités...

Pour la sensibilité ou la tolérance a la douleur, je vais tenter d'être clair...

Tout dépend des mémoires que l'on a.

on a vu que le chemin que prend la douleur, quelques fractions de secondes en chaque, est comme suit: douleur a l'endoit x > La transmission par l'influs nerveux > La orise de conscience > et la réaction.

si l'on prend l'eau qui ravine le sol, les première fois l'eau prendra du temps pour faire son chemin. Ensuite la pluie suivante l'eau aura tendance a emprunter ce même chemin en creusant d'avantage la rizière et encore en plus en plus toute les autres fois. De sorte qu'il deviendra pratiquement impossible a l'eau d'emprunter un autre chimin tellement la rizière est importante. Et plus l'eau arrivera en bas rapidement.

La douleur emprunte elle aussi ces "faiblesse de terrain" et plus on a de mémoire de douleur, plus la transmission ce fait rapidement au cerveau et plus de décodage deviendra automatique. Autrement dit, plus une personne est sensibilisée jeune, voir bébé (maladie, prématurité, hospitalisation, maltraitance, ect.) plus les voies de transmission vont se raviner vite et profondément. Par exemple un bébé qui aurait été hospitalisé et qui a eu une perfussion pendant plusieurs semaines pourrait même au bout de plusieurs année ne pas supporter qu'on lui touche la main, car ce contact, même non douloureux, renvoie a une expérience douloureuse. Et ce même si il ne se souviens pas de son hospitalisation.

Une fois les voies creusées, il est difficile d'en faire emprunter d'autres.

La manière dont a été accueillies les émotions douloureuse depuis la naissance est tout aussi importante.

je reviens plus tard ;-)

c'est super intéressant tout ça du moins moi je trouve
j'ai hâte de lire la suite en attendant je vais aller voir le programme hypno-vie

Ourson
le programme hypno-vie, faut compter mettre combien d'heure pour le faire a la maison ?

4 semaines, tu dois écouter un cd par semaine a tout les soirs et faire 5 fois 30 sec d'auto hypnose ;-)
tu peux mettre le cd en te couhant et dormir dessus si tu veux

Bon maintenant on sait pourquoi certaine personne sont moins tolérante que d'autre, selon lesmémoire qu'ils sont.


maintenant, on ne peut effectivement pas empêcher nos enfants de se faire mal ou bien de recevoir des interventions. Mais il y a moyen de contrôler la vitesse de transmission afin de ne pas trop creuser les voies. La seule façon c'est de comment est acceuillies les émotions.

Même dans le cas d'un bébé par exemple qui pense-t-on ne comprend pas tout, il est important de lui expliquer et d'agir le plus doux et rassurant possible. Lui dire qu,il devra par exemple subir une intervention, mais que c'est pour son bien. Qu'il se peut qu'il ait mal, mais que tous prendra bien soins de lui ect. il faut lui permettre aussi d'exprimer sa colère ou sa souffrance. Il ne faut pas nier son ressenti en disant par exemple: "arrête de pleurer ça ne fait pas mal" ou " (tu ne sens rien" etc. Il est aussi important de ne pas tomber dans l'autre extrême, celui de la mère paniqué qui accourt a près de son fils qui a chuté en exagérant oh mon pauvre bébé, ça fait très très mal etc. Faire attention de ne pas projetter sur l'enfant ses propre peurs et angoisses.

Donc il semblerait qu'une attitude de juste millieu, une attitude reconnaissante limite le risque de creuser des voies automatique d'Accès, rendant les réactions à toute douleur disproportionnées.

Docn selon les expériences antérieurs, selon l'entourage, ce qu'on va ou a entendus, comment les choses se sont présentées, comment la douleur sera soulagée ou pas, niées ou pas, entendue ou pas ... et tant d'autres facteurs qui vont entourer le vécu douloureux, ce vécu va être destructeur, neutre ou bénéfique, et va préparer le terrain pour les autres expériences qui se présenteront au fil des ans.

Que ce vécu douloureux soit conscient ou pas, ça ne change rien sur la capacité a agir sur soi, et a amplifier les expérience ultérieures, les rendant souvent bien plus angoissante de façon inexpliquée.

En tant que fille, qui n'a jamais entendue des phrase comme: ben la si tu pelure pour ça, comment tu va faire pour accoucher, tu ne sera jamais capable" Noter aussi que la perception de la douleur est ancré dans la mémoire de toute les femme depuis la nuit des temps. On pense seulement a la bible qui dit: "tu enfantera dans la douleur" etc.

LA concentration vers un but, la motivation peuvent aussi inférer grandement dans le ressenti de la douleur:

ex un soldat blessé gravement au front n'aura pas conscience de la douleur car il a un but en tête celui de se rendre en sécurité. Et c'Est la seulement que la douleur apparaitra...

La peur d'Avoir mal, le sentiment d'inséurité dans le lei et avec les personnes qui vous soignent/ accompagne, l'impression de devoir subir et de ne rien pouvoir faire pour changer les choses, sont des facteurs reconnus comme rendant plus douloureux le ressenti de ce qu'on vit...

je continue ce soir

Moi je n'ai pas de documentation à apporter, que ma vision personnelle. Ma façon de le vivre en lien avec les textes apportés.